Florian Tonner Nouveau rotarien au club de Chaumont

Florian, le mois dernier, tu as intégré le club de Chaumont, Haute-Marne. Quelles motivations ont conduit ton choix de rejoindre le Rotary ?

Je suis arrivé à un moment de ma vie où je souhaitais donner de mon temps aux autres. J’ai dans un premier temps pensé à me rendre à une maison des associations pour proposer mes services : donner des cours à des personnes qui en ont besoin. Mais je souhaitais pas rester dans une association où le champ d'action est limité à un seul secteur.

Ce que j'ai trouvé au sein du Rotary, c'est la possibilité de m'investir sur plusieurs axes, permettant de venir en aide aux personnes qui en ont besoin.

Peux-tu te présenter en quelques mots ?

Je suis responsable méthode usinage dans une PME, dans une fonderie, atelier d'usinage installée en Haute-Marne.

J'ai une grande passion pour ma vie familiale, j'ai deux enfants en bas âge, et j'aime faire du sport : j'ai pratiqué le moto-cross pendant 15 ans ainsi que la course à pied, j'aime aussi profiter de la nature.

Cette vie semble très épanouissante. Qu'est ce qui t'a motivé à faire quelque chose en plus ?

J'avais besoin de me rendre utile. Au travers de mon parcours personnel, il y a des situations où j'aurais aimé bénéficier d'un coup de pouce. Je n'ai pas toujours eu cette chance, je me suis dit que certaines personnes devaient traverser des épreuves similaires et qu'à ma petite échelle, je pouvais donner de mon temps pour aider les gens. D'un point de vue personnel, c'est un motif de satisfaction et d'épanouissement.

Quel est le vœu le plus cher que tu souhaiterais réaliser au Rotary ?

Ce serait contribuer à l'éducation des jeunes. Les aider dans le milieu scolaire, leur permettre d'atteindre un objectif professionnel. On voit de plus en plus de jeunes perdus dans leurs objectifs de vie. Je pense qu'il faut leur donner confiance et donner une ligne pour leur permettre d'y arriver. L'autre motivation importante pour moi, c'est la santé. On rencontre des personnes atteintes de maladies incurables. Cela me brise le cœur et provoque un sentiment d'impuissance. Si à ma petite échelle, je peux faire de petites actions au bénéfice de la recherche, c'est formidable.