Aurélien Herquel - nouveau membre au club d’Epinal

 

 

Président-fondateur du label Hu-Man, qui ambitionne de mettre plus d’humain à l’échelle de l’humanité, Aurélien Herquel a intégré depuis quelques mois du club d’Epinal. Pour « tendre la main à l'autre pour qu'il puisse réussir. »

Aurélien, depuis quand es-tu membre du Rotary d'Épinal et pourquoi as-tu intégré ce club ?

Je suis rotarien depuis 2024. J'avais présenté ma société il y a à peu près deux ans au sein du Rotary d'Épinal, je connaissais forcément des personnes au sein du Rotary. Ils m'ont demandé si ça m'intéressait, par rapport à mon activité, je n'avais pas vraiment le temps et je ne savais pas ce que ça représentait comme temps. On est revenu me voir fin 2023, j'ai accepté.

Qu'est-ce que qui t'as déterminé ?

C'est le bénévolat au service du citoyen, des plus défavorisés : ce sont les valeurs qui me conviennent. Mais surtout, ce que j’apprécie, c’est de voir l'application concrète de notre volontariat.

Un quadragénaire qui entre au Rotary, c’est une bonne nouvelle…

Le Rotary doit être à l'image de la société. Sociologiquement, nous sommes une société vieillissante, il faut que les organismes puissent attirer de la jeunesse. L'entre soi ne fonctionne pas. L'intergénérationnel est fondamental : c'est ça qui fait la diversité au travers des valeurs que l'on partage. Je crois que le Rotary doit être à l'image de la société, tout simplement.

Y-a-t-il une action ou une cause qui te touche particulièrement ?

Je ne les connais pas encore toutes. Avant d'être rotarien à Epinal, je connaissais bien sûr le salon de la gourmandise qui est devenu un événement national. Ce sont les actions dirigées vers les plus défavorisées qui me touchent parce que je crois qu'un être humain doit savoir redonner ce qu'on lui a donné. C'est bien de recevoir mais lorsqu'on fait partie des privilégiés, il faut le rendre à la société. Je crois beaucoup à la théorie du " self made man", où l'on peut tendre la main à l'autre pour qu'il puisse réussir.

Quel est le vœu cher que tu souhaitais exaucer grâce au Rotary ?

Créer une fondation. J'ai l'opportunité de rencontrer certaines personnes que je n'aurais jamais rencontré si je n'étais pas au Rotary. Le but, c'est de pouvoir créer une fondation qui favoriserait l'humanisation du travail dans le monde entier, surtout dans les pays les plus défavorisés.