En 1986 le Rotary a fait de l’alphabétisation une de ses priorités, parce qu’il la considère comme l’une des conditions du développement et de la paix.
Un analphabète a peu de chances de connaître dans sa vie d’autre environnement que la misère. Et l’illettrisme est un facteur aggravant de pauvreté et d’exclusion.
Plus de 800 millions d’êtres humains dans le monde ne savent ni lire ni écrire, et cette lacune les rend particulièrement vulnérables à la faim, la maladie et une pauvreté extrême.
Près de deux tiers d’entre eux, 500 millions, sont des femmes. Sans accès à une éducation de base, ces femmes ne sont pas à même d’accéder aux ressources disponibles et faire les choix qui améliorent les conditions de vie de leurs enfants et de leurs familles.
Aujourd’hui, 72 millions d’enfants en âge d’être scolarisés en primaire ne vont pas à l’école.